République Dominicaine : la Péninsule de Samana
La péninsule de Samana, au nord-est de la République Dominicaine, est une petite pépite de la Nature : on y trouve tout un ensemble de plages de rêves (pour nous, parmi les plus belles et agréables du pays), avec une zone de relief en retrait (une petite cordillère de 500 mètres d’altitude environ) et une végétation luxuriante, le tout très préservé et à l’écart du tourisme de masse : pas de resort ici, l’endroit reste authentique et l’ambiance détendue et nonchalante. Autant dire qu’on a adoré !
La péninsule est pourtant très accessible : le pays étant quand même petit et les routes plutôt bonnes, depuis Santo Domingo il faut à peine plus de deux heures en bus pour rejoindre la ville de Samana (de son vrai nom : Santa Barbara de Samana), au cœur de la péninsule, ou celle de Las Terrenas, au Nord, et l’endroit est d’ailleurs une destination de week-end appréciée des habitants de la capitale.
En ce qui nous concerne, on a décidé de faire plusieurs étapes dans la région, en commençant par le village de Las Galeras, tout au bout du bout de la péninsule, avant de poursuivre par un arrêt dans la ville de Samana, dont on a fait notre point de départ pour visiter le parc de Los Haitises ! Quant à Las Terrenas, on y est allé beaucoup plus tard, puisque lors de notre premier séjour en Rep Dom qui devait durer 3 mois on avait quitté la péninsule sans y aller et en prévoyant de revenir par la suite, mais une sombre histoire de fracture de la cheville à Jarabacoa nous avait conduit à quitter le pays plus tôt que prévu… Finalement, c’est lors de notre retour presqu’un an plus tard qu’on est enfin passés par Las Terrenas, après être retournés à Las Galeras qu’on avait tellement aimé !
Allez, on vous parle de tout ça dans ce post !
D’emblée, d’un point de vue pratique, on précise qu’on peut tout à fait faire les trois étapes en une bonne semaine (ou un peu plus dans l’idéal), par exemple en allant d’abord tout au bout jusqu’à Las Galeras (au moins 3 jours sur place dans l’idéal), avant de revenir vers l’entrée de la péninsule par des sauts de puces, d’abord vers Samana pour aller voir le parc Los Haitises (2 jours en comptant les trajets) puis vers Las Terrenas pour finir (2-3 jours).
Las Galeras, au bout du bout de la péninsule de Samana
Pour atteindre Las Galeras, qu’on peut rejoindre uniquement depuis la ville de Samana, on passe par un trajet de 40 minutes en guagua sur une route à travers la végétation. On arrive ensuite dans un tout petit village assez isolé, qui se résume à une rue principale qui descend vers la mer et regroupe l’essentiel des commerces et restaus, et à quelques chemins non goudronnés autour. L’endroit est tranquille et l’environnement superbe, et si avec le temps le village est devenu plus touristique et compte désormais une petite communauté d’expatriés européens (qui tiennent des restaus et hébergements), il reste encore très préservé, beaucoup plus que celui de Las Terrenas qui s’est bien plus développé et est devenu une petite ville très touristique, là où Las Galeras reste un hameau (on a d’ailleurs entendu à plusieurs reprises dire que Las Galeras, c’est Las Terrenas d’il y a 20 ans).
Si on vient ici c’est clairement pour les plages, et le moins qu’on puisse dire c’est que dans le coin il n’y a que l’embarras du choix ! Celle qui se trouve au bout de la route du village, la Playa Grande, est déjà très belle, même si elle n’est pas très pratique pour la baignade vu qu’il y a très peu de fond. Elle sert de point de départ des liaisons locales en bateaux, et elle s’anime en soirée quand elle devient un point de rendez-vous pour les habitants qui viennent boire un verre à l’un des snacks, jouer au volley ou à la pétanque (sport importé par les expatriés français et bien adopté par les dominicains, aujourd’hui c’est d’ailleurs surtout eux qu’on voit jouer sur le terrain du club de Los Amigos !). Mais la perle du village c’est la Playita, à quelques minutes à pied du centre, qui est vraiment magnifique avec ses eaux turquoises, la végétation et les collines de l’autre côté de la baie qui créent un cadre superbe, et où il y a une ambiance tranquille et familiale. Comme en plus on trouve sur place des restaus de plage et des vendeurs de coco, il y a tout pour en faire un endroit paradisiaque !
Plus loin au fond de la baie, se trouve la Playa Rincon, une grande et belle plage de sable blanc avec des milliers de cocotiers, que l’on voit de loin (on la distingue depuis la Playita) et qui est considérée comme l’une des plus belles du coin. Pour y aller, on a le choix entre trois moyens : en bateau depuis Las Galeras (mais c’est très cher pour un trajet pourtant très court), par la route (en louant un scooter, en se faisant emmener par un motoconcho ou un guagua… Il y a une quinzaine de kilomètres sur des routes de montagne, et il faut compter environ 40 mn), ou tout simplement en utilisant… ses pieds ! Le sentier qui longe la côte permet de rejoindre Playa Rincon depuis Las Galeras en environ 6 km et 2 heures (c’est plus direct que par la route qui part un peu dans tous les sens), et c’est une très belle balade, au cours de laquelle on traverse plusieurs autres superbes plages, en particulier la Playa Colorada et la Playa Breman.
A l’arrivée, on peut se récompenser avec une Pina Colada ou une Coco Loco (c’est une eau de coco… avec du rhum en plus !) à l’un des petits Comedor : il y en a aux deux extrémités de la plage (longue de plusieurs kilomètres), et au milieu on trouve plein de coins pour se poser tranquilles : la Playa Rincon est tellement grande qu’on peut toujours s’isoler des groupes qui arrivent par bateau.
A l’extrémité ouest, on trouve une zone de mangrove et un petit rio (d’eau douce, donc), on peut s’y baigner et se balader en forêt le long des eaux turquoises (il y a aussi des possibilités de balade en barque). Problème : l’endroit est aussi une vraie décharge, ça gâche un peu les choses (on vous a épargné ça sur les photos !)…
Et avec tout ça… on n’en n’a toujours pas fini avec le tour des plages de Las Galeras ! De l’autre côté du village, il reste les Playa Madama et Playa Fronton, deux plages très sauvages car non accessibles par une route (on y va uniquement à pieds ou en bateau). Il y a tout : les eaux limpides, le sable blancs, des cocotiers partout, et une particularité supplémentaire qui leur donne du caractère, le fait qu’elles se trouvent aux pieds de falaises recouvertes de végétation. On a choisi de faire le trajet en bateau (on trouve facilement des capitaines sur la Playa grande au village – tarif négocié à 1000 pesos par personne) et d’aller à la Playa Fronton (qui est après la Playa Madama, qu’on voit donc pendant le trajet, mais qui était recouverte de sargasses à ce moment-là). Le trajet est un peu mouvementé quand la mer est agitée, mais la vue sur la côte est très belle depuis la mer, surtout à l’arrivée ! On avait prévu le pique-nique et on avait donc tout notre temps sur place, on a passé une journée super, entre baignade, snorkling, exploration des environs, et quelques activités plus inattendues comme des tentatives d’escalade des cocotiers ! Bon vous l’avez compris, c’est une balade qu’on recommande !
Pour changer de la plage (si si, des fois il faut !), on s’est aussi lancés dans une virée à scooter. On peut facilement en louer à Las Galeras, et une fois motorisés on peut partir se balader dans les collines des environs, plus ou moins en direction de la playa Rincon (bon ok, on en revient quand même toujours à une histoire de plage). On passe par les pueblitos de Los Tocones et El Rincon, on traverse des zones de plantations, avec des bananiers et des cocotiers un peu partout, des petites cabanes colorées… Même s’il n’y a pas de but précis, c’est toujours cool de partir en toute liberté sur un scoot et de rouler un peu au hasard à la découverte de la région ! La route est plutôt bonne, il faut quand même faire attention aux nids de poules et aux ralentisseurs, d’autant qu’ici personne ne porte de casque et qu’il y a souvent 2 à 3 personnes sur les motos. Quant à l’essence, elle s’achète au litre un peu partout le long de la route, tout le monde en vend dans des bouteilles de bière Présidente (qui sert décidément à tout).
Samana, ville étape
Après avoir passé une petite semaine à Las Galeras, c’est à Samana qu’on s’est posés pour deux nuits. La ville n’a rien de folichon et n’est pas une destination en soi, mais on en a fait notre camp de base pour aller visiter le parc Los Haitises, qui est de l’autre côté de la baie qu’on peut traverser en ferry. En saison, c’est aussi un point de départ pour l’observation des baleines !
Pour une ville étape, Samana est un endroit plutôt sympa. La ville est dans la végétation et l’ambiance est détendue, surtout sur le malecon qui est un endroit agréable pour flâner le long de la baie, et où toute la ville ou presque se retrouve le soir, autour des terrains de jeux et des snacks. Le dimanche soir en particulier, les familles s’y retrouvent pour passer la soirée tranquillement. Le lundi, c’est soirée karaoké et ça fait du bruit. Les autres jours… Il faudra revenir pour découvrir ce qui se passe !
Le Parc nationale Los Haitises
Los Haitises, c’est le grand parc naturel de l’est de la République Dominicaine, face à la péninsule de Samana de l’autre côté de la baie, qui comprend une partie terrestre mais aussi une partie côtière avec des grottes, des ilots et des petits pics karstiques, qui lui valent parfois d’être surnommé « la baie d’Halong de la République Dominicaine » (ce qui est quand même exagéré !)
De nombreuses agences proposent des excursions à la journée ou à la demi-journée depuis Las Terrenas ou Samana, mais c’est une option qu’on a cherché à éviter car c’est vraiment l’excursion de groupe comme on ne les aime pas trop (formule bus + bateau + repas par groupes de plusieurs dizaines de personnes). En fait il est aussi tout à fait possible de se débrouiller par ses propres moyens pour visiter le parc. Son entrée se situe à une dizaine de kilomètres du village de Sabana de la mar, qu’on peut lui-même rejoindre depuis Samana en bateau : une navette publique fait la traversée plusieurs fois par jour en 1h15. On arrive au débarcadère de Sabana de la mar (ou plutôt ce qu’il en reste : la partie en bois du ponton était effondrée depuis deux mois lors de notre passage, il fallait rejoindre la cote via une barque poussée par deux pêcheurs qui galéraient un peu), et de là il est très simple de trouver un motoconcho qui permet d’atteindre l’entrée du parc en 20 minutes environ. Sur place il ne reste plus qu’à négocier avec un guide pour un tour en bateau à la découverte du parc.
C’est surtout le prix qui se négocie, le parcours, lui, est toujours un peu le même et dure environ 2h : on commence sur le rio Cano Hondo dans la mangrove, avant d’atteindre la baie de San Lorenzo (qui forme une sorte de « baie dans la baie » de Samana). Là, on navigue entre les ilots rocheux couverts de végétations et peuplés d’oiseaux de toutes sorte (mais on est un peu nuls en oiseaux et on a oublié les noms, il faudra se contenter des photos !).
On fait ensuite une halte dans deux grottes contenant des vestiges des indiens Taïnos, qui peuplaient l’île avant l’invasion européenne. Dans la première (Cueva de la Linea), on peut voir de nombreux pétroglyphes représentant divers animaux (requin, baleine, insectes) ou divinités. Malheureusement la grotte a été dégradée et les originaux se mêlent à des imitations récentes.
La deuxième grotte (« Cueva de la Arena ») est à côté d’une belle petite plage, et à l’intérieur on peut voir quelques sculptures.
A la fin de la balade et en ressortant du parc, à proximité on peut passer jeter un œil aux piscines naturelles du rio Cano Hondo qui descend des collines. C’est joli, mais pour la baignade c’est privé et cher. On peut quand même traverser pour atteindre deux points de vue sur la baie et les environs (et au passage on peut affronter « l’escalier de la mort », attention aux glissades !).
Pour le retour, il ne reste plus qu’à faire le même trajet en sens inverse : motoconcho – ferry – retour à Samana en fin de journée !
Las Terrenas, la partie touristique de la péninsule de Samana
C’est donc un an plus tard qu’on arrive enfin à Las Terrenas. L’étape qu’on y a prévue est rapide : 2 jours, et tout en ne regrettant pas d’être venu on trouve que ça a été suffisant.
On n’a pas connu Las Terrenas à ses débuts il y a quelques dizaines d’année, mais aujourd’hui c’est une petite ville très animée et bruyante (énormément de circulation, beaucoup de motos et aussi de quad, c’est la grande mode ici), avec un front de mer aménagé où se succèdent les hôtels. L’ensemble reste à taille humaine, il n’y a pas d’énormes resorts, mais c’est quand même une petite station balnéaire bien urbanisée, très touristique.
Le bord de mer au niveau du village et autour est magnifique, et les plages se succèdent sur des kilomètres, ce qui est l’occasion de belles balades. La plage du village, qui commence au niveau du cimetière (ambiance) est très jolie et on y trouve des kioskos qui restent simples. Elle se prolonge par la Playa Punta Popy, très belle et dont la pointe forme une avancée de sable dans la mer, très photogénique. Au-delà, c’est la très longue plage d’El Portillo qui s’étire sur des kilomètres. Il y a du monde mais comme les plages sont très longues, elles ne donnent pas l’impression d’être bondées. On ne s’y est pas baigné mais on a bien apprécié de se balader le long du front de mer et de boire un petit jus de Pina à un kiosko du village.
Le lendemain, on est parti à l’exploration des environs, en commençant par aller voir la cascade d’El Limon, très célèbre en Rep Dom. C’est une expédition qui a été simple et sans difficulté. On le précise car à lire les guides et les forum internet on peut avoir l’impression qu’il est impératif de passer par une agence qui s’occupe de tout depuis Las Terrenas, ou au moins de prendre un guide à l’entrée du site. En réalité, c’est une balade (plus une balade qu’une rando d’ailleurs) comme une autre, sans complication particulière. On a pris un guagua dans la rue à Las Terrenas (ils partent de la parada mais descendent la calle duarte avant de suivre le front de mer) qui nous a largué 20-30 minutes plus tard à El Limon ; de là il faut marcher 10 minutes le long de la route de Samana jusqu’à la première entrée du site (il y en a 3 ou 4). Sur place, on nous a à peine racolé ; on a pu voir que les gens qui arrivent en voiture se font beaucoup plus mettre la pression, des motards les repèrent et les « escortent » d’autorité jusqu’au parking pour leur vendre un package parking + guide, mais nous rien, tout juste une proposition assez molle pour prendre un cheval, c’en était presque vexant (a priori en arrivant à pied et habillé en mode rando tu envoies d’emblée le message que tu n’achèteras rien). Bref, on a donc sans problème atteint la casette où sont vendus les billets d’accès (puisque c’est un parc national : 50 pesos l’entrée), et on a pu commencer la « rando ».
On commence par traverser trois fois le rio (on a pu le faire en gardant les pieds secs en sautillant d’une pierre à l’autre) en aval des chutes avant de grimper. En commençant à 10h (soit un peu plus tard que prévu mais on a pris du retard, comme d’habitude), on était tranquille, on a été doublé en tout par une dizaine de personne à cheval (tout le monde prend l’option cheval), ce qui reste supportable.
La marche est en fait très rapide, en une bonne demi-heure on avait atteint le haut du sentier, où se trouve un « rancho », en fait un bar (pas de café, mais il y a de la pina colada pour les plus motivés du matin !) qui sert aussi de parking pour les chevaux. De là, on a une très belle vue sur les chutes noyées dans la végétation tropicale avec leur belle couleur émeraude (qui nous ont un peu fait penser à celles d’Emerlad Pool en Dominique ou de Kuangsi au Laos).
Ensuite, tout le monde marche, il reste 5-10 minutes en descente pour atteindre une première petite chute, très jolie et très tranquille. C’est surement le meilleur plan baignade, car la cascade principale, qui est à 2 minutes au-dessus, est très belle mais aussi très peuplée, ambiance piscine municipale un jour de canicule et défilé d’instagrameuses (et encore, le type qui loue des perroquets pour les photos n’était pas là).
Pour repartir, plutôt que de revenir sur nos pas on a décidé de prendre le sentier du côté opposé, qui passe en amont des chutes, donc. Mauvais choix, de ce côté-là (et à 11h, c’est peut-être différent plus tôt) c’était l’enfer : passé le parking des chevaux le sentier devient une autoroute à caballos, sur le tout petit chemin des files ininterrompus de chevaux se croisent en se frôlant, et toi en tant que piéton c’est ta responsabilité de garer tes pieds. Et comme tous ses sabots ont quand même bien labouré le sentier boueux, l’un des pieds en question a fini dans la vase jusqu’à la cheville (et vu le nombre de chevaux, mieux vaut ne pas trop penser à la composition exacte du terrain…). Bref, ça à un peu râlé (surtout Nico) sur le retour, et on a gagné un arrêt nettoyage dans la rivière !
(en espagnol dans le texte)
On finit par déboucher sur la route Samana – El Limon, où il suffit d’attendre le premier guagua qui passe pour remonter vers le village puis redescendre vers Las Terrenas.
Au final, on a quand même passé une bonne matinée, les chutes sont belles et leur environnement aussi, mais c’est vrai que l’ambiance ultra-touristique terni un peu la découverte.
L’après-midi, on a décidé d’aller se poser sur une autre plage de Las Terrenas, Playa Bonita, qui est effectivement très belle : en arc de cercle dessinant une jolie baie, rangée de cocotiers derrière le sable, pas mal du tout ! La plage n’est pas sauvage et il y a une série d’hôtels, mais ils sont plutôt discrets et s’intègrent assez bien au paysage, l’endroit reste préservé et est très agréable.
Et voilà pour notre découverte en deux temps de la péninsule de Samana ! Prochaine étape : les montagnes de Jarabacoa !
Infos Pratiques |
Trajets pour aller sur la Péninsule ou la quitter :
Logements à Las Galeras : On a dormi au BDM (« Bout du monde »), un petit hôtel avec piscine très sympa et bien situé, tenu par deux françaises super cool. Et leur resto est au top ! Chambres 30 à 60 USD. Logement à Samana : L’Hotel Aire y Mar, une petite pension de famille en bordure de la ville, est une option correcte pour faire étape. Chambres basiques et terrasse agréable avec une vue sur la baie. Pas donné dans l’absolu (2500 pesos la chambre pour 3) mais il n’y a pas 50 options non plus en ville. La dame qui tient l’endroit est du genre tradi et a un peu tiqué qu’on veuille une chambre triple pour 3 adultes, mais en prétendant que notre pote Aurélia était la sœur de Célia s’est (un peu) mieux passé ! Logement à Las Terrenas : On peut conseiller la guesthouse Jardin des Caribe, une petite guesthouse toute simple et très sympa avec des chambres donnant sur un jardin, à 15 minutes à pieds du bord de mer. Réservé sur booking avec une promo, 1575 DOP la nuit Comment aller au Parc de Los Haitises par ses propres moyens ? Prendre le ferry sur le port : 300 pesos – trajet 1h15, départ toutes les 2h (7h, 9h, etc) – Retour 15h ou 17h Motoconcho du débarcadère de Sabana de la mar à l’entrée du parc négocié à 200 pesos par personne pour 3 avec 2 motos Entrée du parc 100 pesos Bateau 2h négocié à 2500 pesos pour 3 Pour manger avant de reprendre le bateau retour, on vous conseille le comedor « Caney » à Sabana de la mar à côté du ponton – repas 250 pesos. |
2 commentaires
Alex
Bonjour,
Vous indiquez un ferry entre Samana et Los Haitises, pouvez m’indiquer s’il peut être empreinté avec une voiture svp ?
Merci par avance 🙂
Alex
Kikis
Bonjour Alex,
Le « ferry » est un petit bateau pour les piétons, il y a des photos dans l’article pour te permettre de mieux visualiser.
Si tu veux aller à l’entrée en voiture, il faudra ressortir de la presqu’île et faire le tour de la baie.
Bon voyage !